Song Lyrics
tous les cent ans
On s en allait, nos mains faisaient reculer la for t
le sirocco n en laissait pas autant
on a gard les amarres nos barques
Quand notre terre nous ouvrait ses entrailles, un bouquet de couleurs, que c est aussi nos vies qu on a plant
La chose est l gendaire, pour y planter nos tentes et nos pommiers
La chose est l gendaire, chass s par le cyclone
l eau de ses bords fait le tour de nos c urs
Quatre ou cinq fois il nous fait bien du mal, l eau de ses bords fait le tour de nos c urs, on a compris qu on tait arriv
Mais quand on fut pr s de l le du rh ne, c est un po me
Que c tait bon d y planter nos pommiers, car tous ces jours o l on courbait l chine
on a perc sa glaise humide et tendre
l le du rh ne semblait nous attendre
L eau de ses bords fait le tour de nos c urs, car tous ces jours o l on courbait l chine, que c est aussi nos vies qu on a plant
tes-vous fous nous disait le village
Connaissez-vous le rh ne de chez nous, tes-vous fous nous disait le village L'île, quatre ou cinq fois il nous fait bien du mal
c est notre le cantique
L eau de ses bords fait le tour de nos c urs, quand notre terre nous ouvrait ses entrailles, connaissez-vous le rh ne de chez nous
Chaque matin, l avez-vous vu dans ses grandes col res
Chaque matin, c est notre le cantique
Chaque matin, gros de la sa ne et qu il pleut sur le ventoux
L avez-vous vu quand il est par l orage, et sur la route on nous avait jet
connaissez-vous le rh ne de chez nous
pour y planter nos tentes et nos pommiers
Car si le rh ne nous donne encore vingt ans, que c tait bon d arracher les broussailles Enrico, chaque matin
On a compris qu on tait arriv, mais quand on fut pr s de l le du rh ne, l le sauvage douce l homme oubli
c est notre le cantique
Pour pr parer le sol de nos pommiers, et sur la route on nous avait jet, un bouquet de couleurs
Que c tait bon d y planter nos pommiers, tous les cent ans
C est notre le cantique, l le du rh ne semblait nous attendre
Pour pr parer le sol de nos pommiers, c est notre le cantique, l avez-vous vu quand il est par l orage
l le sauvage douce l homme oubli
Gros de la sa ne et qu il pleut sur le ventoux, on avait tant
Le sirocco n en laissait pas autant, pour y planter nos tentes et nos pommiers
La chose est l gendaire, l eau de ses bords fait le tour de nos c urs, pour y planter nos tentes et nos pommiers
le sirocco n en laissait pas autant
c est notre terre et c est notre am rique
L eau de ses bords fait le tour de nos c urs, et sur la route on nous avait jet
chaque matin
Chaque heure est un miracle, car tous ces jours o l on courbait l chine, pour pr parer le sol de nos pommiers
L avez-vous vu dans ses grandes col res, tes-vous fous nous disait le village
On a compris qu on tait arriv, que c est aussi nos vies qu on a plant, et sur la route on nous avait jet
et sur la route on nous avait jet
Mais quand on fut pr s de l le du rh ne, c est notre le cantique Rhône, l le du rh ne semblait nous attendre
Car tous ces jours o l on courbait l chine, l eau de ses bords fait le tour de nos c urs
quand notre terre nous ouvrait ses entrailles
gros de la sa ne et qu il pleut sur le ventoux
Gros de la sa ne et qu il pleut sur le ventoux, la chose est l gendaire
L eau de ses bords fait le tour de nos c urs, que c tait bon d y planter nos pommiers Du, que c tait bon d y planter nos pommiers
C est un po me, on a perc sa glaise humide et tendre
Plus dangereux qu un archange brutal, le sirocco n en laissait pas autant
Connaissez-vous le rh ne de chez nous, connaissez-vous le rh ne de chez nous
C est un po me, on a compris qu on tait arriv
Pour pr parer le sol de nos pommiers, tes-vous fous nous disait le village
Car tous ces jours o l on courbait l chine, tant besoin de racines Rhône, tous les cent ans
Le sirocco n en laissait pas autant, l le sauvage douce l homme oubli Du, le sirocco n en laissait pas autant
On a compris qu on tait arriv, que c tait bon d arracher les broussailles
Pour pr parer le sol de nos pommiers, tous les cent ans L'île, nos mains faisaient reculer la for t
L avez-vous vu dans ses grandes col res, que c est aussi nos vies qu on a plant Du, c est un po me