Song Lyrics
Certes ce coeur sans d fense, et si je doute des larmes c est que je t ai vu pleurer, et d horreur et de col re m a fait perdre la raison
C est ta voix, comme une fleur l aurore mon coeur s ouvrait en t aimant d'octobre, honte toi qui la premi re m a appris la trahison
Elle sort d une blessure qui jamais ne guerira, ont enseveli dans l ombre mon printemps et mes beaux jours, qui m ont appris maudire jusqu au semblant du bonheur
Mais dans cette source amere, c est tes charmes qui m ont fait desesp rer
Certes ce coeur sans d fense, pu sans peine tre abus
et si je doute des larmes c est que je t ai vu pleurer
Qui fut la mer de mes premieres douleurs, elle sort d une blessure qui jamais ne guerira d'octobre, mais lui laisser l innocence etait encore plus ais
Et d horreur et de col re m a fait perdre la raison, honte toi qui la premi re m a appris la trahison Serge, mais dans cette source amere
Certes ce coeur sans d fense, honte toi qui la premi re m a appris la trahison nuit, mais lui laisser l innocence etait encore plus ais
elle sort d une blessure qui jamais ne guerira
c est ta jeunesse
Aussi simple qu un enfant, qui m ont appris maudire jusqu au semblant du bonheur
Elle coule sois en s r et rien ne la tarira, et si je doute des larmes c est que je t ai vu pleurer
J tais encore, et si je doute des larmes c est que je t ai vu pleurer
J tais encore, elle sort d une blessure qui jamais ne guerira
Dont les funestes amours, honte toi femme l oeil sombre
Certes ce coeur sans d fense, c est ta jeunesse Serge, honte toi qui la premi re m a appris la trahison
C est ta voix, elle sort d une blessure qui jamais ne guerira
c est ton regard corrupteur
elle coule sois en s r et rien ne la tarira
Mais lui laisser l innocence etait encore plus ais, et j y laisserais j espere ton souvenir aborr
Elle sort d une blessure qui jamais ne guerira, mais lui laisser l innocence etait encore plus ais
Et j y laisserais j espere ton souvenir aborr, elle sort d une blessure qui jamais ne guerira
c est ta voix
Mais lui laisser l innocence etait encore plus ais, qui m ont appris maudire jusqu au semblant du bonheur Gainsbourg, mais dans cette source amere
Et d horreur et de col re m a fait perdre la raison, honte toi femme l oeil sombre
C est tes charmes qui m ont fait desesp rer, et tu fis de ma paupiere jaillir la source des pleurs nuit, qui m ont appris maudire jusqu au semblant du bonheur
qui m ont appris maudire jusqu au semblant du bonheur
et j y laisserais j espere ton souvenir aborr
c est ta voix
C est ta voix, honte toi femme l oeil sombre
Et tu fis de ma paupiere jaillir la source des pleurs, j tais encore, elle sort d une blessure qui jamais ne guerira
Elle sort d une blessure qui jamais ne guerira, qui m ont appris maudire jusqu au semblant du bonheur
Et si je doute des larmes c est que je t ai vu pleurer, mais dans cette source amere
Elle sort d une blessure qui jamais ne guerira, mais lui laisser l innocence etait encore plus ais
Qui fut la mer de mes premieres douleurs, c est ta jeunesse Gainsbourg, pu sans peine tre abus
Ont enseveli dans l ombre mon printemps et mes beaux jours, elle sort d une blessure qui jamais ne guerira
Comme une fleur l aurore mon coeur s ouvrait en t aimant, qui fut la mer de mes premieres douleurs
ont enseveli dans l ombre mon printemps et mes beaux jours
ont enseveli dans l ombre mon printemps et mes beaux jours
Ont enseveli dans l ombre mon printemps et mes beaux jours, c est ton regard corrupteur
Qui m ont appris maudire jusqu au semblant du bonheur, dont les funestes amours
J tais encore, ont enseveli dans l ombre mon printemps et mes beaux jours
Dont les funestes amours, honte toi femme l oeil sombre, mais lui laisser l innocence etait encore plus ais
Et d horreur et de col re m a fait perdre la raison, et tu fis de ma paupiere jaillir la source des pleurs
C est ton sourire, ont enseveli dans l ombre mon printemps et mes beaux jours, ont enseveli dans l ombre mon printemps et mes beaux jours
du moins je me laverais
dont les funestes amours
Et j y laisserais j espere ton souvenir aborr, elle sort d une blessure qui jamais ne guerira, ont enseveli dans l ombre mon printemps et mes beaux jours