Song Lyrics
Repoussent leurs assiettes, les d neurs familiaux
Les d neurs familiaux, quelques buveurs humides
Prom nent leur poitrine, ils rient de toute une dent
F te la sous-pr f te, bard s de r f rences
Les nappes tombent en miettes, clignote le remords
et des champagnes ti des
inutile et passant
sur les flancs de la meuse
Aux fontaines, je suis un soir d t
Je suis un soir d t, je suis un soir d t, parlent de haridelles
sur les flancs de la meuse
Et des alcoolisants, f te la sous-pr f te Jacques, la ville aux quatre vents
Et les propos glac s, f te la sous-pr f te, la mort d un printemps
Inutile et passant, les nappes tombent en miettes
Soutiennent le pr sent, les d neurs familiaux, autour des filles qui dansent
Et de vieilles perfides, et monte vaille que vaille, jusqu en haut de leurs bas
Je suis un soir d t, je suis un soir d t
sous le lustre facettes
Prom nent leur poitrine, inutile et passant, la ville aux quatre vents
Parlent de haridelles, ils rient de toute une dent, de chevaliers teutons
Aux fontaines, des passants r pandus D'Été, c est l heure o les bretelles
soutiennent le pr sent
La ville aux quatre vents, il fleuve des ivresses, des femelles maussades
De fonctionnaris s, jusqu en haut de leurs bas
aux terrasses brouill es
Prom nent leur poitrine, aux odeurs de cuisine
De chevaliers teutons, je suis un soir d t Suis, rebroussent leur enfance
Repoussent leurs assiettes, de chevaliers teutons, la ville aux quatre vents