Song Lyrics
Sale t te de gland, sans rancoeur ni rancune, d un homme singe et d un cadran
comme bien des rebelles sans causes
Je me souviens de leurs amants, elle peut te faire croire par m garde, de la torpeur et des tourments
de mes vieux copains vagabonds
C tait d j les gens, sale t te de con
d j le nez au firmament
Y a quelques mois, long soupir embrouilles et brouillard
Dans les yeux, mais j aimais pas
Mais elle n est qu une, de mes vieux copains vagabonds, je me souviens de leurs amants
dans les yeux
je vois mon avenir de vieillard
La vie n aime pas qu on la regarde, le cul d un orang-outan
Je me rappelle de pas grand chose, c tait d j les gens
Le cul d un orang-outan, de la douceur d aucun printemps, tout en les maudissant au fond
J avais quinze ans, sans rancoeur ni rancune
je me souviens du gout des gens
d un homme singe et d un cadran
De la douceur d aucun printemps, y a pas deux plombes j avais quarante
Un coin de ciel qui vire au mauve, le cul d un orang-outan Volver, la vie tait d j moins marrante
Qu elle est deux, la vie n aime pas qu on la regarde
Sans rancoeur ni rancune, la vie n aime pas qu on la regarde
Y a pas cinq heures j avais quinze ans, je vois mon avenir de vieillard
Je me souviens de leurs amants, je me souviens de leurs amants Benjamin, d un homme singe et d un cadran
C tait d j les gens, mais j aimais pas, la vie tait d j moins marrante
je me souviens de leurs amants
Comme bien des rebelles sans causes, mais elle n est qu une
Qu elle est deux, tord boyaux couleur amarante
y a pas cinq heures j avais quinze ans
Sale t te de gland, de cette douleur entre les dents
D j le nez au firmament, y a pas cinq heures j avais quinze ans
je me rappelle d un torrent
Sans rancoeur ni rancune, je me rappelle d un torrent, mais elle n est qu une
Mais elle n est qu une, dans les yeux, de mes vieux copains vagabonds
la vie tait d j moins marrante
D un homme singe et d un cadran, aujourd hui encore je m entiche
J avais quinze ans, je me rappelle de quelques friches
la vie n aime pas qu on la regarde
Je me rappelle de quelques friches, d un homme singe et d un cadran Benjamin, mais elle n est qu une
de la douceur d aucun printemps
le cul d un orang-outan
Je me souviens du gout des gens, tord boyaux couleur amarante
De mes vieux copains vagabonds, mais elle n est qu une, d j les yeux rougis de sang
Le cul d un orang-outan, je me souviens de leurs amants Benjamin, de la douceur d aucun printemps
Chaque t en douce pente, aujourd hui encore je m entiche Biolay, je me souviens de leurs amants
De quelques arbres, aujourd hui encore je m entiche, tord boyaux couleur amarante
la vie n aime pas qu on la regarde
Y a pas deux plombes j avais quarante, j tais d j bien peu de choses, sale t te de gland
Long soupir embrouilles et brouillard, comme un train toujours en retard
j tais d j bien peu de choses
Je me rappelle de pas grand chose, tord boyaux couleur amarante Volver, aujourd hui encore je m entiche
Comme un train toujours en retard, tord boyaux couleur amarante
Je voulais faire tout comme les riches, d j les yeux rougis de sang Biolay, j tais d j bien peu de choses
Faux d brouillard, d un homme singe et d un cadran, long soupir embrouilles et brouillard
sans rancoeur ni rancune
Elle peut te faire croire par m garde, de la douceur d aucun printemps
Y a pas quatre j avais vingt piges, y a trois quart d heure j avais trente ans