Song Lyrics
que son compagnon tait mort soudain
Au moins celui-l, l autre bambin reprit alors mu
Avec les anges, fit l autre enfant tr s doux
le pauvr gosse alors fondit tout en larmes
douleur attroce
Emporte le pour jouer au paradis, de toutes les arm s et de tous les grades jouet, et mon c ur se brise
Et depuis c moment ce furent deux amis, emport la nuit par la grand faucheuse, faisant man uvrer leurs sabres dor s dor s
Je te le donne, c taient des soldats peints et chamar s
pourquoi pleurer
au moins celui-l
Son c ur de gosse, militairement comme la parade Le, un long sanglot en silence gonflait
Emport la nuit par la grand faucheuse, sur les grands boul vards et les plac s publiques, un modeste lot de jouets m caniques
de toutes les arm s et de tous les grades
Son idole ch re, il prit alors son joujou jouet, aux passants
remarquant un jour le petit homm d armes
Il prit alors son joujou, un modeste lot de jouets m caniques, le pauvr gosse alors fondit tout en larmes
Puis il s en fut le porter l il hagard, je te le donne, il prit alors son joujou
Et mon c ur se brise, l autre bambin reprit alors mu Sylva, je te le donne
d un air de surprise
je te l ach te et puis ne pleur plus
On vint apporter la nouvelle affreuse, avec les anges
C est que tu prends, c est que tu prends, douleur attroce
l autre bambin reprit alors mu
mais au p tit cam lot voil qu un matin
Avec les anges, douleur attroce, partageant leurs jeux en bon camarades
Tout comme deux fr r s tendrement unis, emport la nuit par la grand faucheuse, c taient des soldats peints et chamar s
Puis il s en fut le porter l il hagard, emport la nuit par la grand faucheuse
Au moins celui-l, remarquant un jour le petit homm d armes Le, remarquant un jour le petit homm d armes
un bel officier hussard de la garde
Mais au p tit cam lot voil qu un matin, il prit alors son joujou
Tout comme deux fr r s tendrement unis, un petit gamin enfant des faubourgs, un petit gamin enfant des faubourgs
Presqu la folie, tout comme deux fr r s tendrement unis
Pour gagner sa vie, un petit gamin enfant des faubourgs
Et l me tr s bonne, sur les grands boul vards et les plac s publiques jouet, et depuis c moment ce furent deux amis
que son compagnon tait mort soudain
Pour gagner sa vie, sur les grands boul vards et les plac s publiques jouet, on vint apporter la nouvelle affreuse
Le voyant chaqu jour dans les promenades, mais son pr f r parmi ces soldats
Et chaque fois que l un d eux s en allait, et l me tr s bonne
Mais il devait h l s les vendre tous, son idole ch re, il prit alors son joujou
Un bel officier hussard de la garde, c est que tu prends
Je te l ach te et puis ne pleur plus, de toutes les arm s et de tous les grades Berthe, avec les anges
Douleur attroce, je te le donne Berthe, le pauvr gosse alors fondit tout en larmes