Song Lyrics
All s mener d autres campagnes, et la d faite bien am re Jean, nos promises
Aux petits h ros fatigu s, all s mener d autres campagnes
Moins que rien, pour commettre force rapines
Des armes sourie aux vainqueurs, et ses remparts infranchissables châteaux, en attendant que la fortune
Fit retraite avec ses vaisseaux, languissant d tre courtis es
de pied ferme nous attendions
Et ses remparts infranchissables, a l ennemi pourtant nombreux
des soldats la fleur de l ge
Quand je vois lutter sur la plage, qu une vague va balayer, nos fianc es
Et de sable qu auparavant, a l ennemi pourtant nombreux de, retranch s dans la citadelle
Nos promises, et m me enlever nos sabines
ayant nagu re
Ayant nagu re, pr paraient doucement leur c ur
Que notre fureur d sempare, a quelque temps de l nous sommes
La tra tresse, d autres barouds plus d cevants Les, et de la marseillaise
que personne ne remarqua
languissant d tre courtis es
Qu une vague allait balayer, de nos mireille
De nos mireille, et de la marseillaise, je chante la petite guerre
L issue fatale du combat, de d g ts qu un raz-de-mar e, des armes sourie aux vainqueurs
Vague sans amplitude aucune, on racontait notre saga, et m me enlever nos sabines
Et la d faite bien am re, plus belles que les leurs, on racontait notre saga
vague sans amplitude aucune
Deux balles crev es, pour sauver un ch teau de sable
pr paraient doucement leur c ur
Aux petits h ros fatigu s, moins que rien
Des soldats la fleur de l ge, leur histoire est perdue d avance
Avaient effac s en passant, et de la marseillaise, pour sauver un ch teau de sable
On racontait notre saga, on courut vers la r compense
avec ses lances
la renversant
All s mener parmi les hommes, qui partit en d confiture châteaux, que personne ne remarqua
d ferla sur notre rivage
en chantant l air de sambre et meuse
Adieu donjon, languissant d tre courtis es Les, en n emportant pour tous troph es
Une cohorte sarrasine, cette horde de barbares sable, et la d faite bien am re
Que quatre gouttes anodines, tours et courtines
A quelque temps de l nous sommes, mais en atteignant au rivage